Τετάρτη 20 Αυγούστου 2008
ΒΕΛΓΙΟ (ΣΤΑ ΓΑΛΛΙΚΑ): ΧΩΡΙΖΟΥΜΕ ΓΙΑ ΚΑΛΥΤΕΡΑ ΑΠΟ ΤΟΝ ΜΙΣΕΛ ΓΟΥΙΛΚΙΝΣ
Destructions des familles par les dysfonctionnements judiciaires et administratives
19/08/2008 - Témoignage et constats par Michel WILLEKENS
Système D : « On divorce pour être mieux »
Pour pouvoir divorcer… pour être mieux, l’on abuse du système « D » c'est-à-dire le système de Destruction Familiale. Sans vouloir m’étendre sur ce concept, dans la majorité des cas, c’est la femme qui quitte son conjoint ; et ce, au nombre de 75 à 80 %. En général, c’est mieux pour la femme ! Mais c’est pire pour l’homme.
Le mariage, une entreprise de vie familiale
Qui dit mariage dit contrat de mariage. Afin qu’il n’y ait pas de victime qui puisse être lésée par son conjoint, il serait donc plus intelligent de prévoir un contrat « béton » qui préciserait des clauses spécifiques et inviolables en cas de séparation / divorce conflictuel.
Pour ne citer que deux exemples du système « D » : Un homme, propriétaire d’un immeuble (de type Bel Étage, dans la banlieue chique et résidentielle de Bruxelles, le Brabant Wallon. À Braine-l’Alleud précisément) rencontre, un beau jour, une femme qui a deux enfants. Ils décident de vivre ensemble. Mais au bout de quelque temps, la femme veut le quitter et elle porte plainte contre lui. Cet homme est expulsé manu militari par la justice de Nivelles, sans qu’elle ne s’inquiète du bien fondé des accusations de sa compagne.
C’est en août 1994, que je l’ai rencontré lors de la Croisade des SDF, des Compagnons du Partage, devant le CPAS Bruxellois. Il s’appelle Guy LUX (un surnom, sans pouvoir me rappeler son nom). C’est au cours de cette croisade de 1994 à 1996, en tant que moi-même SDF, que j’ai pu parfaire sa connaissance. J’ai appris qu’il était du même quartier que moi, à Braine-l’Alleud, d’où je fus moi aussi expulsé dans les mêmes conditions que lui.
Dès qu’il m’eut raconté son « Histoire » je me suis dit que c’était le destin qui me conduisit à lui… C’est probablement pour que je puisse me rendre compte que si Guy LUX, et moi-même, nous avions été traités de la même manière, il y aurait certainement d’autres pères à subir le même sort que nous, par cette mode à nous expulser de nos foyers, sur de simples allégations, totalement fausses de la part de nos compagnes. Guy LUX n’était même pas marié. Comme moi, il fut expulsé de chez lui et condamné à payer des pensions alimentaires impossibles à payer… Alors, là… alors, là… il devait bien y avoir un fameux stûût… quelque part.
Dès ce moment, je n’ai eu de cesse de rechercher d’autres cas similaires à ce phénomène très étrange qui se passe dans notre société. En ce temps là, on parlait souvent d’OVNIS… mais pas ce ça !
En août 1994, nous entreprîmes une Croisade des SDF jusqu’en juillet 1996. Nous dormîmes sous tentes devant les 19 CPAS bruxellois. En mars 1995, nous avons réquisitionné le Château de la Solitude à Auderghem, lez Bruxelles. Cette action fut réalisée un peu après les deux actions de réquisitions à Paris, par le DAL et le Comité des Sans Logis.
Durant un peu plus d’un an (de mars 1995 à Juillet 1996) le Château accueillit des milliers de paumés. J’ai pu rencontrer et dénombrer ces hommes broyés par la Machine judiciaire. Je vis alors que ces hommes ne voulaient pas parler de leurs « Histoires » tant ils en avaient honte. Honte de leurs échecs. Honte de leurs Histoires. Honte d’eux-mêmes.
Ce ne fut pas facile et parfois même très difficile d’aborder les sujets en question car ils sont trop intimes pour pouvoir en parler. On ne parle pas de ces choses là ! Les femmes, oui, elles parlent volontiers et leurs plaintes sont aisées et fréquentes, sans aucune retenue ni pudeur.
Mais les hommes, non ! Ils se taisent ! Ils souffrent en silence ! Diabolisés qu’ils sont.
Ils étaient tous dans cette situation, uniquement parce qu’ils étaient pères de familles et donc considérés comme des coupables ! Oui, ils ont tous été condamnés uniquement parce qu’ils avaient un statut de malheur, celui d’être père qui est totalement en conflit avec le statut de mère lors des naufrages des couples. Alors qu’ils n’avaient pas mérité un tel sort et qu’ils n’avaient pas commis d’infractions pour mériter de telles sanctions, le simple fait d’avoir
« Mis leurs petites graines » là où il ne fallait pas… à ces femmes là… Car, après avoir enfanté… de leurs enfants à elles… elles ont jeté leurs pères, comme de simples jouets sexuels démodés, en vertu d’une idéologie contemporaine qui scande à tout vent : « Divorcez car la vie est courte » ou encore : « Divorcez, vous serez mieux »
Après avoir rencontré des milliers de ces pères violés, spoliés, je me suis rendu compte que la femme était devenue la pire infection de l’homme. Et qu’elle était pire que tout pour lui ! Pire que le Sida !
Cette réaction me vint à l’esprit tout simplement en raison de ma formation scientifique sur les phénomènes de la science, dont ma spécialité fut, entre autre, la physique. Dans ma prime jeunesse j’avais eu un assez fort intérêt pour la recherche pure, en physique. Ce n’est que plus tard que j’ai changé de direction, pour le monde des affaires.
En 15 années, j’ai pu relever que 60 % (voire plus) de la population des hommes SDF étaient tous concernés par la destruction familiale en raison des dysfonctionnements de la justice lors des naufrages des couples.
À titre personnel, j’ai pu faire le constat du décès de 7 de mes connaissances directes. Ils sont tous morts, dans la solitude et le désespoir. Ce qui est certains, c’est qu’ils n’avaient plus assez de leurs deux yeux pour pleurer. Ils noyaient tous leurs chagrins dans la boisson.
Serge s’est suicidé en 1997. Much Much est mort dans son squat en 1999. Il avait des crises d’épilepsie due à un excès de boisson. Il faisait la manche pour pouvoir oublier l’horreur de son existence et de pouvoir parler aux autres. Un peu après, Nounours, s’est tué en descendant les escaliers. Il faisait aussi la manche pour les mêmes raisons. Et puis, ce fut le tour de « La Cloche » qui faisant aussi la manche. Jacques est mort d’avoir trop bu pour oublier. Il ne faisait pas la manche, mais il avait aussi perdu son travail et perdu le sens de sa vie. Jean-Pierre, lui, un battant, syndicaliste, préféra en finir avec la vie. Quelques jour avant sa mort, il me confia : « Michel, si je suis condamné à payer 400 € de pension alimentaires pour mes trois enfants et en plus, la moitié du prêt hypothécaire, je ne sais pas comment je pourrai m’en sortir ».
À son enterrement, il y avait des dizaines de sympathisants. Il y eut de beaux mais vains discours sur son cercueil posé sur le sol. Guy LUX, lui, vient de mourir en 2007. Je le rencontrais assez souvent à la Station de Métro « Brouckère ». Il parlait encore de certaines actions en justice à la suite de la tentative de sa compagne qui voulait vendre l’immeuble à Braine-l’Alleud, alors qu’il n’était pas marié à elle et qu’elle n’était nullement propriétaire de l’immeuble.
Tous ces hommes étaient, tous, bien trop jeunes pour mourir ! Sur ces 7 compagnons de misères, si l’un, d’entre eux, s’est carrément suicidé, les 6 autres se sont suicidés lentement, mais sûrement ! Démotivés et dégoutés de la vie, qu’ils étaient. Alors qu’ils étaient vraiment des chics types, des chouettes gars qui souriaient à chacune de nos rencontres. Mais ils n’avaient plus aucun espoir de vivre décemment dans cette société où les plus riches deviennent plus riches et les plus pauvres deviennent plus pauvres ! Et de plus ils étaient privés de vivre avec leurs enfants.
Je ne compte pas les « Perdus de vue » depuis 15 ans. Je n’oublierai pas non plus ce gars qui faisait la manche sur le pont devant la gare de Charleroi. Je voulais lui demander ses coordonnées pour pouvoir le consigner sur ma liste de pères violés, spoliés, broyés,… comme moi. Je l’avais rencontré au Château de la Solitude en 1995. Il me tint ce discours : « Michel, continue le combat sans moi. Pour moi, c’est fini car je suis au bout du rouleau. Je dois être opéré du cœur et je n’ai plus de mutuelle. Les CPAS ne m’aident pas. D’un jour à l’autre je vais crever. »
Comme ce gars qui faisait la manche à la place Albert à Charleroi (à côté du WIBRA) et qui avait un gros abcès derrière l’oreille. Il n’avait plus de mutuelle, non plus. Il était dans la même situation que nous, mais il refusait, par fierté, d’aller « Mendier » au CPAS.
Je lui ai donné l’adresse de « Médecin du Peuple » où l’on dispensait des soins gratuits.
Et puis, je ne l’ai plus vu. Un peu plus tard, j’ai appris qu’il était décédé, seul dans son studio. Il avait 35 ans.
Et puis, il en a eu d’autres… morts d’avoir mis des enfants au monde ! Et ça, on ne veut pas le savoir !
Je ne parle pas, non plus de ces SDF opportunistes qui profitent de tout. Ceux-là, je les ai écartés de mes enquêtes, dès que j’ai rapidement vu qu’il n’y avait qu’une chose qui les intéressait le FRIC et les avantages qu’ils peuvent tirer de n’importe quelle situation. De ces « SDF » je suis très mal vu !
Comme ces SDF disparaissaient constamment, pour pouvoir les identifier, je leur demandais leurs Nom et Prénoms et leurs dates de naissances.
Mais jamais aucune association légales et officielles d’aides aux sdf et démunis n’ont voulu prendre au sérieux ce fléau, véritable génocide social.
Aucun CPAS que j’ai alerté n’a voulu prendre en charge cette destruction de familles en raison des dysfonctionnements de la justice à la suite des conflits conjugaux. Pourtant en 1995, une assistante sociale du CPAS de Charleroi me tint ce discours « Je sais, Monsieur, ce phénomène prend de plus en plus d’ampleur ».
Pour moi, cette réponse fut le comble de la médiocrité. Les CPAS sont au courant de ce fléau, mais ne fait rien pour l’endiguer. Si l’on réfléchit bien, on peut trouver la réponse.
Cette réponse ne sera pas révélée ici même. Pour pouvoir endiguer ce fléau, il faut agir sur plusieurs leviers.
En 15 années d’expériences, il serait imbécile de ma part de donner, ici, les solutions pour endiguer ce fléau. On me rirait au nez ! Ou bien l’on me prendrait pour un idiot, comme naguère l’on qualifia Soljenitsime d’Idiot pour l’Occident, alors qu’il dénonça les horreurs et les massacres engendrés par le communisme, cette autre idéologie que celle qui nous massacre, nous les hommes, en tant que pères de familles, en pays industrialisés, dits « civilisés ».
Et comme je ne suis pas célèbre du tout ni dans mon pays, ni ailleurs,… mais en accord total avec les membres du réseau international, auquel je fais partie.
Ce n’est donc pas mon rôle de dire ce qu’il faut faire pour endiguer ce fléau. C’est aux gouvernements (de nos pays respectifs) de se pencher la dessus et de prendre eux-mêmes les mesures qui s’imposent.
L’on pourrait, par exemple, organiser un grand colloque dans chaque pays avec les Experts d’Expériences que nous sommes, en tant que porte-parole de ces pères qui n’osent pas en parler.
Quand on a mal aux pieds, l’on ne va pas consulter un architecte !
Pour reprendre l’expression de ce Médecin Social, lui aussi violé, spolié comme nous, et fondateur d’une association française, lequel écrivait « Si l’on a mal aux pieds, l’on ne va pas consulter un architecte, ni une couturière ».
Alors, pourquoi, lorsque l’on a « Mal à son couple », l’on consulte un avocat ?
Pourquoi ne pas Soigner son couple lorsqu’il va mal ? Pourquoi ne pas consulter un médecin, spécialiste en relations conjugales, par exemple, pour suivre une thérapie de couple ? Encore faut-il que la femme veuille vraiment sauver son couple ! Ceci dit puisque c’est en majeure partie les femmes qui quittent leurs maris ou leurs conjoints en « union libre ». En effet, c’est à 75 à 80 % que les femmes décident de quitter leurs conjoints. Alors, pourquoi biser une famille sans vouloir faire le moindre effort pour que ça aille dans le couple ? Le conjoint qui n’a aucune intention de vouloir « arranger » les choses qui ne vont pas dans le couple n’est-il pas, dans ce cas, le (ou la) responsable du naufrage du couple et responsable des graves conséquences qui en découle ?
Ne serait-il pas par là qu’il serait nécessaire de commencer lors des crises conjugales ? Ne serait-il pas plus salutaire, pour le couple, de commencer par consulter un conseiller conjugal ? Lequel pourrait se positionner en réel médiateur et bien plus efficace qu’un avocat pour guérir le mal être des conjoints ? Le seul vrai spécialiste en médiation familiale qui puisse réellement lui apporter les soins psychologiques nécessaires pour une meilleure santé mentale au sein du couple ?
Cela ne permettrait-il pas aux couples à la dérive, de passer au travers d’une crise grave où l’on ne voit qu’une solution : la fuite en demandant le divorce sans autre mesure.
Ne faudrait-il pas considérer que le non vouloir d’un conjoint à sauver son couple serait à considérer, en son chef, comme une grave négligence mettant le couple en danger ? Et de le sanctionner pour ce motif ? En effet, le contrat de mariage stipule que le couple se doit de s’aides mutuellement. Dans la réalité, quand ça ne va plus, on se quitte ! Alors, pourquoi se marier, dans ces conditions, où la justice donne tout à la femme : Maison, Enfants, Patrimoine, et Rente de Situation, en expulsant le mari de son foyer et en le condamnant, trop souvent, à vivre de revenus inférieurs au seuil de pauvreté, voire à vivre de mendicités ?
Nous savons très bien que les médecins de familles sont en première ligne pour détecter ces crises aigües. En seconde ligne, viennent les Centre PMS des écoles.
Alors, pourquoi ne fait-on pas de la Prévention Familiale au lieu de la Destruction familiale ? Et c’est toujours la même question qui revient : « À qui profite le Crime ? ».
Je n’aborderai pas, ici, les ruptures de couples en « Union libre » qui sont 2,5 fois, voire 3 fois plus nombreuses que les couples mariés légalement. Les catastrophes sont similaires, à part le fait qu’il n’y a pas de patrimoine commun. La catastrophe se situe en condamnations, pour ces pères là, à payer une pension alimentaire de (par exemple) 250 € pour un enfant, alors que le père est au chômage ! Ces pères, vivant en « union libre » sont tout aussi privés de vivre avec leurs enfants. Nous connaissons, tous, des femmes qui perçoivent ainsi 4 ou 5 pensions alimentaires grâce aux 4 ou 5 enfants de pères différents ! Les enfants sont donc devenus les nouveaux enjeux pour retirer le plus de profits. Je ne vais pas m’étendre, ici, sur les conséquences dramatiques que subiront les enfants et dans leurs jeunesses, et dans leurs vie d’adultes. Tout le monde est au courant de ces graves conséquences. Mais personne ne réagi pour les endiguer.
La question était celle-ci : Alors, pourquoi, lorsque l’on a « Mal à son couple », l’on consulte un avocat ?
Quand tout le monde sait que ces avocats, par l’odeur de l’argent, alléchés, (sans rentrer dans les détails connus et reconnus) vont systématiquement conseiller à la femme de divorcer de manière conflictuelle, où tous les coups sont permis, afin de retirer un maximum de profit pour la femme, comme de bien entendu. Voilà comment agissent ces avocats qualifiés de « Conseillers Familiaux » qui pullulent dans lesdites « Maison pour femmes battues » qui disposent de psychologues, de juristes et de ces « Conseillers Familiaux » qui vont s’enrichir en réclamant des pensions alimentaires exorbitantes de 250 € par enfant au minimum, et même jusque 1.500, 2.205, 3.500 € par mois, à des pères qui seront, par la suite, exterminés socialement par les saisies intégrales de leurs salaires, de leurs ressources, de leurs patrimoines,… Tout, absolument TOUT est saisissable pour les pensions alimentaires dues.
Il arrive donc que des pères ne puissent plus continuer à travailler. Comment peut-on travailler quand on n’a plus un sou ?
Dans ce cas, la manne providentielle cesse d’alimenter les « Rente de Situation » des ex compagnes et des enfants.
Alors, pour ces pères, commence l’horreur suprême ! Ils se rendent compte qu’ils ne peuvent plus payer un seul iota de pension alimentaire, mais qu’entre-temps, la dette continue à augmenter, de mois en mois, et d’années en années. Pour prendre l’exemple de ce Médecin spécialiste qui vit son automobile saisie (pour récupération de créance alimentaire) et qui fut arrêté, mis en prison, pour abandon de famille. Il perdit donc son emploi de Médecin Hospitalier. Aux yeux de la loi, il y a abandon de famille, dès qu’il y a un retard de 2 mois de payement de pension alimentaire. Et pour ce « Crime » là, on va en prison ! Or sa femme gagnait plus de 2.500 € net par mois + les allocations familiales de ses 2 enfants. Elle n’était vraiment pas dans la gêne financière. Mais elle obtint, par la condamnation (par défaut car le père ne fut pas prévenu pour sa défense) un jugement contre le père, au versement d’une pension alimentaire de 3.500 € par mois ! Et ce, pour deux enfants ! Est-ce une Rente Alimentaire ? Ou bien est-ce une Rente Immobilière ? Peut-on tolérer une telle malhonnêteté, voire une telle ignominie ?
Pour citer un autre exemple d’un père qui, après avoir été expulsé de chez lui (sans que la justice ne s’inquiète du bien-fondé des accusations de sa femme) et après 2 mois de non payement de la pension alimentaire (620 €) pour 3 enfants, fut saisi intégralement de ses indemnités d’invalidité (770 €) alors que sa femme, au chômage (majoré pour personne isolée avec enfants à charge) disposait de 1.760 € de revenus mensuels ainsi que plusieurs comptes bancaires, bien garnis, de plusieurs dizaines de milliers d’€ ; lesquels appartenaient pourtant à la communauté. L’avocat de ce père ignora le fait et il ne fit rien pour palier à cette situation d’escroquerie de la part de sa femme.
Durant 8 années, ce père fut constamment condamné à payer 620 € de pensions alimentaires pour 3 enfants.
Cette pension alimentaire fut mal calculée. Car son avocat, confondit des arriérés d’indemnités à des salaires. Cet avocat devait bien aller en appel contre ce jugement, mais il refusa parce que ce père n’avait plus les moyens de payer ses honoraires ; et parce qu’il refusa de le défendre en « Pro deo ». Ce père devait pourtant disposer, lui aussi, légalement, de la moitié des sommes que constituaient les comptes communs du couple ; et ce, en raison du Mariage sous le Régime de la Communauté.
Par la suite, les 5 avocats successifs ne firent rien pour faire diminuer ladite pension alimentaire. Entre-temps, ce père vécu de l’aide sociale, équivalente au Minimex, durant ces 8 années.
C’est ensuite grâce à une jeune avocate stagiaire, idéaliste et pleine d’illusions, que ce père pu mettre un terme au payement de la pension alimentaire. Son ex épouse n’avait même pas averti que les enfants ne vivaient plus chez elle. Ils habitaient tous ailleurs. Certains étaient en « Ménage ». D’autres travaillaient. Et pendant ce temps « Le Père » payait Madame pour « on ne sait quoi ».
Durant ces 8 années, il fut constaté que ce père avait payé plus de 50.000 € en trop de pensions alimentaires. Or, durant cette même période, il bénéficia de +- 53.000 € d’aides sociales du CPAS, pour pouvoir vivre.
Le CPAS était pourtant au courant de la situation ! Et tous les CPAS sont au courant de ces milliers de situations !
Alors la question se pose : pourquoi, les CPAS ne font-ils rien pour préserver leurs intérêts ? Ils ont pourtant des avocats chevronnés qui auraient pu défendre et à la fois les intérêts du CPAS ainsi que les intérêts du père de famille en situations de demandeur d’aide sociale.
Le CPAS, dans ce cas de figure, aurait économisé plus de 53.000 €, sur 8 ans.
Peut-on extrapoler, en sachant que ce fléau prend de plus en plus d’ampleur, depuis 1994, pour chiffrer la perte financière que les 300 et quelques CPAS de Belgique déboursent à tort, pour les milliers de cas similaires ?
Seraient-ils les complices de ces dérives ? Mais alors, ils seraient les complices de qui ? Et de quelle corporation ?
Car la question est de savoir « À qui profite le crime » ?
Quand des gens honnêtes et courageux auront eu la réponse à cette question : « À qui profite le crime » peut-être que ces criminels en cols blancs cesseront leurs méfaits.
Les pères sont transformés en géniteurs à usage unique
C’est donc sur deux fléaux que les hommes doivent se protéger lorsqu’ils sortent leurs « cédilles » de garçon. Au risque pour eux de devenir des « gar con » comme le dit si bien la chanson à la mode de chez nous. Ils doivent donc, sous peine d’être doublement condamnés à leurs destructions et éliminations, de faire usage du Préservatif, lequel a pleinement et doublement son sens. Ayant pour rôle premier de préserver la santé des hommes contre la maladie du SIDA. En plus, le préservatif aura le rôle de le préserver aussi de sa destruction socioéconomique si par malheur il devenait le géniteur de sa compagne.
Autrement dit : ne faites plus de gosses sous peine de perdre la vie ! Tant pour la vie affective que la vie sociale et la vie économique.
Sur 15 années, nos réseaux ont dénombré plus de 10.000 cas de pères violés, spoliés, broyés par le Système « D »
Cela constitue une grave menace pour l’avenir du pays ! Notre réseau a découvert plus de 10.000 pères violés, spoliés,… par le système « D »
Destructions des familles par les dysfonctionnements judiciaires et administratives
À la suite des conflits conjugaux
2.107 pères violés, spoliés, broyés par le système « D » (795 du Châteaux + 312 en rues de 1994 à 2008) par mes contacts personnels.
Au total, notre réseau associatif de pères a dénombré plus de 10.000 cas individuels depuis 1994
Des livres sortiront bientôt pour dénoncer ce génocide social par le système 'D'.
Une vingtaine d'exemplaires me seront envoyés dans quelques jours. Avis aux amateurs!
19/08/2008 - Témoignage et constats par Michel WILLEKENS
Système D : « On divorce pour être mieux »
Pour pouvoir divorcer… pour être mieux, l’on abuse du système « D » c'est-à-dire le système de Destruction Familiale. Sans vouloir m’étendre sur ce concept, dans la majorité des cas, c’est la femme qui quitte son conjoint ; et ce, au nombre de 75 à 80 %. En général, c’est mieux pour la femme ! Mais c’est pire pour l’homme.
Le mariage, une entreprise de vie familiale
Qui dit mariage dit contrat de mariage. Afin qu’il n’y ait pas de victime qui puisse être lésée par son conjoint, il serait donc plus intelligent de prévoir un contrat « béton » qui préciserait des clauses spécifiques et inviolables en cas de séparation / divorce conflictuel.
Pour ne citer que deux exemples du système « D » : Un homme, propriétaire d’un immeuble (de type Bel Étage, dans la banlieue chique et résidentielle de Bruxelles, le Brabant Wallon. À Braine-l’Alleud précisément) rencontre, un beau jour, une femme qui a deux enfants. Ils décident de vivre ensemble. Mais au bout de quelque temps, la femme veut le quitter et elle porte plainte contre lui. Cet homme est expulsé manu militari par la justice de Nivelles, sans qu’elle ne s’inquiète du bien fondé des accusations de sa compagne.
C’est en août 1994, que je l’ai rencontré lors de la Croisade des SDF, des Compagnons du Partage, devant le CPAS Bruxellois. Il s’appelle Guy LUX (un surnom, sans pouvoir me rappeler son nom). C’est au cours de cette croisade de 1994 à 1996, en tant que moi-même SDF, que j’ai pu parfaire sa connaissance. J’ai appris qu’il était du même quartier que moi, à Braine-l’Alleud, d’où je fus moi aussi expulsé dans les mêmes conditions que lui.
Dès qu’il m’eut raconté son « Histoire » je me suis dit que c’était le destin qui me conduisit à lui… C’est probablement pour que je puisse me rendre compte que si Guy LUX, et moi-même, nous avions été traités de la même manière, il y aurait certainement d’autres pères à subir le même sort que nous, par cette mode à nous expulser de nos foyers, sur de simples allégations, totalement fausses de la part de nos compagnes. Guy LUX n’était même pas marié. Comme moi, il fut expulsé de chez lui et condamné à payer des pensions alimentaires impossibles à payer… Alors, là… alors, là… il devait bien y avoir un fameux stûût… quelque part.
Dès ce moment, je n’ai eu de cesse de rechercher d’autres cas similaires à ce phénomène très étrange qui se passe dans notre société. En ce temps là, on parlait souvent d’OVNIS… mais pas ce ça !
En août 1994, nous entreprîmes une Croisade des SDF jusqu’en juillet 1996. Nous dormîmes sous tentes devant les 19 CPAS bruxellois. En mars 1995, nous avons réquisitionné le Château de la Solitude à Auderghem, lez Bruxelles. Cette action fut réalisée un peu après les deux actions de réquisitions à Paris, par le DAL et le Comité des Sans Logis.
Durant un peu plus d’un an (de mars 1995 à Juillet 1996) le Château accueillit des milliers de paumés. J’ai pu rencontrer et dénombrer ces hommes broyés par la Machine judiciaire. Je vis alors que ces hommes ne voulaient pas parler de leurs « Histoires » tant ils en avaient honte. Honte de leurs échecs. Honte de leurs Histoires. Honte d’eux-mêmes.
Ce ne fut pas facile et parfois même très difficile d’aborder les sujets en question car ils sont trop intimes pour pouvoir en parler. On ne parle pas de ces choses là ! Les femmes, oui, elles parlent volontiers et leurs plaintes sont aisées et fréquentes, sans aucune retenue ni pudeur.
Mais les hommes, non ! Ils se taisent ! Ils souffrent en silence ! Diabolisés qu’ils sont.
Ils étaient tous dans cette situation, uniquement parce qu’ils étaient pères de familles et donc considérés comme des coupables ! Oui, ils ont tous été condamnés uniquement parce qu’ils avaient un statut de malheur, celui d’être père qui est totalement en conflit avec le statut de mère lors des naufrages des couples. Alors qu’ils n’avaient pas mérité un tel sort et qu’ils n’avaient pas commis d’infractions pour mériter de telles sanctions, le simple fait d’avoir
« Mis leurs petites graines » là où il ne fallait pas… à ces femmes là… Car, après avoir enfanté… de leurs enfants à elles… elles ont jeté leurs pères, comme de simples jouets sexuels démodés, en vertu d’une idéologie contemporaine qui scande à tout vent : « Divorcez car la vie est courte » ou encore : « Divorcez, vous serez mieux »
Après avoir rencontré des milliers de ces pères violés, spoliés, je me suis rendu compte que la femme était devenue la pire infection de l’homme. Et qu’elle était pire que tout pour lui ! Pire que le Sida !
Cette réaction me vint à l’esprit tout simplement en raison de ma formation scientifique sur les phénomènes de la science, dont ma spécialité fut, entre autre, la physique. Dans ma prime jeunesse j’avais eu un assez fort intérêt pour la recherche pure, en physique. Ce n’est que plus tard que j’ai changé de direction, pour le monde des affaires.
En 15 années, j’ai pu relever que 60 % (voire plus) de la population des hommes SDF étaient tous concernés par la destruction familiale en raison des dysfonctionnements de la justice lors des naufrages des couples.
À titre personnel, j’ai pu faire le constat du décès de 7 de mes connaissances directes. Ils sont tous morts, dans la solitude et le désespoir. Ce qui est certains, c’est qu’ils n’avaient plus assez de leurs deux yeux pour pleurer. Ils noyaient tous leurs chagrins dans la boisson.
Serge s’est suicidé en 1997. Much Much est mort dans son squat en 1999. Il avait des crises d’épilepsie due à un excès de boisson. Il faisait la manche pour pouvoir oublier l’horreur de son existence et de pouvoir parler aux autres. Un peu après, Nounours, s’est tué en descendant les escaliers. Il faisait aussi la manche pour les mêmes raisons. Et puis, ce fut le tour de « La Cloche » qui faisant aussi la manche. Jacques est mort d’avoir trop bu pour oublier. Il ne faisait pas la manche, mais il avait aussi perdu son travail et perdu le sens de sa vie. Jean-Pierre, lui, un battant, syndicaliste, préféra en finir avec la vie. Quelques jour avant sa mort, il me confia : « Michel, si je suis condamné à payer 400 € de pension alimentaires pour mes trois enfants et en plus, la moitié du prêt hypothécaire, je ne sais pas comment je pourrai m’en sortir ».
À son enterrement, il y avait des dizaines de sympathisants. Il y eut de beaux mais vains discours sur son cercueil posé sur le sol. Guy LUX, lui, vient de mourir en 2007. Je le rencontrais assez souvent à la Station de Métro « Brouckère ». Il parlait encore de certaines actions en justice à la suite de la tentative de sa compagne qui voulait vendre l’immeuble à Braine-l’Alleud, alors qu’il n’était pas marié à elle et qu’elle n’était nullement propriétaire de l’immeuble.
Tous ces hommes étaient, tous, bien trop jeunes pour mourir ! Sur ces 7 compagnons de misères, si l’un, d’entre eux, s’est carrément suicidé, les 6 autres se sont suicidés lentement, mais sûrement ! Démotivés et dégoutés de la vie, qu’ils étaient. Alors qu’ils étaient vraiment des chics types, des chouettes gars qui souriaient à chacune de nos rencontres. Mais ils n’avaient plus aucun espoir de vivre décemment dans cette société où les plus riches deviennent plus riches et les plus pauvres deviennent plus pauvres ! Et de plus ils étaient privés de vivre avec leurs enfants.
Je ne compte pas les « Perdus de vue » depuis 15 ans. Je n’oublierai pas non plus ce gars qui faisait la manche sur le pont devant la gare de Charleroi. Je voulais lui demander ses coordonnées pour pouvoir le consigner sur ma liste de pères violés, spoliés, broyés,… comme moi. Je l’avais rencontré au Château de la Solitude en 1995. Il me tint ce discours : « Michel, continue le combat sans moi. Pour moi, c’est fini car je suis au bout du rouleau. Je dois être opéré du cœur et je n’ai plus de mutuelle. Les CPAS ne m’aident pas. D’un jour à l’autre je vais crever. »
Comme ce gars qui faisait la manche à la place Albert à Charleroi (à côté du WIBRA) et qui avait un gros abcès derrière l’oreille. Il n’avait plus de mutuelle, non plus. Il était dans la même situation que nous, mais il refusait, par fierté, d’aller « Mendier » au CPAS.
Je lui ai donné l’adresse de « Médecin du Peuple » où l’on dispensait des soins gratuits.
Et puis, je ne l’ai plus vu. Un peu plus tard, j’ai appris qu’il était décédé, seul dans son studio. Il avait 35 ans.
Et puis, il en a eu d’autres… morts d’avoir mis des enfants au monde ! Et ça, on ne veut pas le savoir !
Je ne parle pas, non plus de ces SDF opportunistes qui profitent de tout. Ceux-là, je les ai écartés de mes enquêtes, dès que j’ai rapidement vu qu’il n’y avait qu’une chose qui les intéressait le FRIC et les avantages qu’ils peuvent tirer de n’importe quelle situation. De ces « SDF » je suis très mal vu !
Comme ces SDF disparaissaient constamment, pour pouvoir les identifier, je leur demandais leurs Nom et Prénoms et leurs dates de naissances.
Mais jamais aucune association légales et officielles d’aides aux sdf et démunis n’ont voulu prendre au sérieux ce fléau, véritable génocide social.
Aucun CPAS que j’ai alerté n’a voulu prendre en charge cette destruction de familles en raison des dysfonctionnements de la justice à la suite des conflits conjugaux. Pourtant en 1995, une assistante sociale du CPAS de Charleroi me tint ce discours « Je sais, Monsieur, ce phénomène prend de plus en plus d’ampleur ».
Pour moi, cette réponse fut le comble de la médiocrité. Les CPAS sont au courant de ce fléau, mais ne fait rien pour l’endiguer. Si l’on réfléchit bien, on peut trouver la réponse.
Cette réponse ne sera pas révélée ici même. Pour pouvoir endiguer ce fléau, il faut agir sur plusieurs leviers.
En 15 années d’expériences, il serait imbécile de ma part de donner, ici, les solutions pour endiguer ce fléau. On me rirait au nez ! Ou bien l’on me prendrait pour un idiot, comme naguère l’on qualifia Soljenitsime d’Idiot pour l’Occident, alors qu’il dénonça les horreurs et les massacres engendrés par le communisme, cette autre idéologie que celle qui nous massacre, nous les hommes, en tant que pères de familles, en pays industrialisés, dits « civilisés ».
Et comme je ne suis pas célèbre du tout ni dans mon pays, ni ailleurs,… mais en accord total avec les membres du réseau international, auquel je fais partie.
Ce n’est donc pas mon rôle de dire ce qu’il faut faire pour endiguer ce fléau. C’est aux gouvernements (de nos pays respectifs) de se pencher la dessus et de prendre eux-mêmes les mesures qui s’imposent.
L’on pourrait, par exemple, organiser un grand colloque dans chaque pays avec les Experts d’Expériences que nous sommes, en tant que porte-parole de ces pères qui n’osent pas en parler.
Quand on a mal aux pieds, l’on ne va pas consulter un architecte !
Pour reprendre l’expression de ce Médecin Social, lui aussi violé, spolié comme nous, et fondateur d’une association française, lequel écrivait « Si l’on a mal aux pieds, l’on ne va pas consulter un architecte, ni une couturière ».
Alors, pourquoi, lorsque l’on a « Mal à son couple », l’on consulte un avocat ?
Pourquoi ne pas Soigner son couple lorsqu’il va mal ? Pourquoi ne pas consulter un médecin, spécialiste en relations conjugales, par exemple, pour suivre une thérapie de couple ? Encore faut-il que la femme veuille vraiment sauver son couple ! Ceci dit puisque c’est en majeure partie les femmes qui quittent leurs maris ou leurs conjoints en « union libre ». En effet, c’est à 75 à 80 % que les femmes décident de quitter leurs conjoints. Alors, pourquoi biser une famille sans vouloir faire le moindre effort pour que ça aille dans le couple ? Le conjoint qui n’a aucune intention de vouloir « arranger » les choses qui ne vont pas dans le couple n’est-il pas, dans ce cas, le (ou la) responsable du naufrage du couple et responsable des graves conséquences qui en découle ?
Ne serait-il pas par là qu’il serait nécessaire de commencer lors des crises conjugales ? Ne serait-il pas plus salutaire, pour le couple, de commencer par consulter un conseiller conjugal ? Lequel pourrait se positionner en réel médiateur et bien plus efficace qu’un avocat pour guérir le mal être des conjoints ? Le seul vrai spécialiste en médiation familiale qui puisse réellement lui apporter les soins psychologiques nécessaires pour une meilleure santé mentale au sein du couple ?
Cela ne permettrait-il pas aux couples à la dérive, de passer au travers d’une crise grave où l’on ne voit qu’une solution : la fuite en demandant le divorce sans autre mesure.
Ne faudrait-il pas considérer que le non vouloir d’un conjoint à sauver son couple serait à considérer, en son chef, comme une grave négligence mettant le couple en danger ? Et de le sanctionner pour ce motif ? En effet, le contrat de mariage stipule que le couple se doit de s’aides mutuellement. Dans la réalité, quand ça ne va plus, on se quitte ! Alors, pourquoi se marier, dans ces conditions, où la justice donne tout à la femme : Maison, Enfants, Patrimoine, et Rente de Situation, en expulsant le mari de son foyer et en le condamnant, trop souvent, à vivre de revenus inférieurs au seuil de pauvreté, voire à vivre de mendicités ?
Nous savons très bien que les médecins de familles sont en première ligne pour détecter ces crises aigües. En seconde ligne, viennent les Centre PMS des écoles.
Alors, pourquoi ne fait-on pas de la Prévention Familiale au lieu de la Destruction familiale ? Et c’est toujours la même question qui revient : « À qui profite le Crime ? ».
Je n’aborderai pas, ici, les ruptures de couples en « Union libre » qui sont 2,5 fois, voire 3 fois plus nombreuses que les couples mariés légalement. Les catastrophes sont similaires, à part le fait qu’il n’y a pas de patrimoine commun. La catastrophe se situe en condamnations, pour ces pères là, à payer une pension alimentaire de (par exemple) 250 € pour un enfant, alors que le père est au chômage ! Ces pères, vivant en « union libre » sont tout aussi privés de vivre avec leurs enfants. Nous connaissons, tous, des femmes qui perçoivent ainsi 4 ou 5 pensions alimentaires grâce aux 4 ou 5 enfants de pères différents ! Les enfants sont donc devenus les nouveaux enjeux pour retirer le plus de profits. Je ne vais pas m’étendre, ici, sur les conséquences dramatiques que subiront les enfants et dans leurs jeunesses, et dans leurs vie d’adultes. Tout le monde est au courant de ces graves conséquences. Mais personne ne réagi pour les endiguer.
La question était celle-ci : Alors, pourquoi, lorsque l’on a « Mal à son couple », l’on consulte un avocat ?
Quand tout le monde sait que ces avocats, par l’odeur de l’argent, alléchés, (sans rentrer dans les détails connus et reconnus) vont systématiquement conseiller à la femme de divorcer de manière conflictuelle, où tous les coups sont permis, afin de retirer un maximum de profit pour la femme, comme de bien entendu. Voilà comment agissent ces avocats qualifiés de « Conseillers Familiaux » qui pullulent dans lesdites « Maison pour femmes battues » qui disposent de psychologues, de juristes et de ces « Conseillers Familiaux » qui vont s’enrichir en réclamant des pensions alimentaires exorbitantes de 250 € par enfant au minimum, et même jusque 1.500, 2.205, 3.500 € par mois, à des pères qui seront, par la suite, exterminés socialement par les saisies intégrales de leurs salaires, de leurs ressources, de leurs patrimoines,… Tout, absolument TOUT est saisissable pour les pensions alimentaires dues.
Il arrive donc que des pères ne puissent plus continuer à travailler. Comment peut-on travailler quand on n’a plus un sou ?
Dans ce cas, la manne providentielle cesse d’alimenter les « Rente de Situation » des ex compagnes et des enfants.
Alors, pour ces pères, commence l’horreur suprême ! Ils se rendent compte qu’ils ne peuvent plus payer un seul iota de pension alimentaire, mais qu’entre-temps, la dette continue à augmenter, de mois en mois, et d’années en années. Pour prendre l’exemple de ce Médecin spécialiste qui vit son automobile saisie (pour récupération de créance alimentaire) et qui fut arrêté, mis en prison, pour abandon de famille. Il perdit donc son emploi de Médecin Hospitalier. Aux yeux de la loi, il y a abandon de famille, dès qu’il y a un retard de 2 mois de payement de pension alimentaire. Et pour ce « Crime » là, on va en prison ! Or sa femme gagnait plus de 2.500 € net par mois + les allocations familiales de ses 2 enfants. Elle n’était vraiment pas dans la gêne financière. Mais elle obtint, par la condamnation (par défaut car le père ne fut pas prévenu pour sa défense) un jugement contre le père, au versement d’une pension alimentaire de 3.500 € par mois ! Et ce, pour deux enfants ! Est-ce une Rente Alimentaire ? Ou bien est-ce une Rente Immobilière ? Peut-on tolérer une telle malhonnêteté, voire une telle ignominie ?
Pour citer un autre exemple d’un père qui, après avoir été expulsé de chez lui (sans que la justice ne s’inquiète du bien-fondé des accusations de sa femme) et après 2 mois de non payement de la pension alimentaire (620 €) pour 3 enfants, fut saisi intégralement de ses indemnités d’invalidité (770 €) alors que sa femme, au chômage (majoré pour personne isolée avec enfants à charge) disposait de 1.760 € de revenus mensuels ainsi que plusieurs comptes bancaires, bien garnis, de plusieurs dizaines de milliers d’€ ; lesquels appartenaient pourtant à la communauté. L’avocat de ce père ignora le fait et il ne fit rien pour palier à cette situation d’escroquerie de la part de sa femme.
Durant 8 années, ce père fut constamment condamné à payer 620 € de pensions alimentaires pour 3 enfants.
Cette pension alimentaire fut mal calculée. Car son avocat, confondit des arriérés d’indemnités à des salaires. Cet avocat devait bien aller en appel contre ce jugement, mais il refusa parce que ce père n’avait plus les moyens de payer ses honoraires ; et parce qu’il refusa de le défendre en « Pro deo ». Ce père devait pourtant disposer, lui aussi, légalement, de la moitié des sommes que constituaient les comptes communs du couple ; et ce, en raison du Mariage sous le Régime de la Communauté.
Par la suite, les 5 avocats successifs ne firent rien pour faire diminuer ladite pension alimentaire. Entre-temps, ce père vécu de l’aide sociale, équivalente au Minimex, durant ces 8 années.
C’est ensuite grâce à une jeune avocate stagiaire, idéaliste et pleine d’illusions, que ce père pu mettre un terme au payement de la pension alimentaire. Son ex épouse n’avait même pas averti que les enfants ne vivaient plus chez elle. Ils habitaient tous ailleurs. Certains étaient en « Ménage ». D’autres travaillaient. Et pendant ce temps « Le Père » payait Madame pour « on ne sait quoi ».
Durant ces 8 années, il fut constaté que ce père avait payé plus de 50.000 € en trop de pensions alimentaires. Or, durant cette même période, il bénéficia de +- 53.000 € d’aides sociales du CPAS, pour pouvoir vivre.
Le CPAS était pourtant au courant de la situation ! Et tous les CPAS sont au courant de ces milliers de situations !
Alors la question se pose : pourquoi, les CPAS ne font-ils rien pour préserver leurs intérêts ? Ils ont pourtant des avocats chevronnés qui auraient pu défendre et à la fois les intérêts du CPAS ainsi que les intérêts du père de famille en situations de demandeur d’aide sociale.
Le CPAS, dans ce cas de figure, aurait économisé plus de 53.000 €, sur 8 ans.
Peut-on extrapoler, en sachant que ce fléau prend de plus en plus d’ampleur, depuis 1994, pour chiffrer la perte financière que les 300 et quelques CPAS de Belgique déboursent à tort, pour les milliers de cas similaires ?
Seraient-ils les complices de ces dérives ? Mais alors, ils seraient les complices de qui ? Et de quelle corporation ?
Car la question est de savoir « À qui profite le crime » ?
Quand des gens honnêtes et courageux auront eu la réponse à cette question : « À qui profite le crime » peut-être que ces criminels en cols blancs cesseront leurs méfaits.
Les pères sont transformés en géniteurs à usage unique
C’est donc sur deux fléaux que les hommes doivent se protéger lorsqu’ils sortent leurs « cédilles » de garçon. Au risque pour eux de devenir des « gar con » comme le dit si bien la chanson à la mode de chez nous. Ils doivent donc, sous peine d’être doublement condamnés à leurs destructions et éliminations, de faire usage du Préservatif, lequel a pleinement et doublement son sens. Ayant pour rôle premier de préserver la santé des hommes contre la maladie du SIDA. En plus, le préservatif aura le rôle de le préserver aussi de sa destruction socioéconomique si par malheur il devenait le géniteur de sa compagne.
Autrement dit : ne faites plus de gosses sous peine de perdre la vie ! Tant pour la vie affective que la vie sociale et la vie économique.
Sur 15 années, nos réseaux ont dénombré plus de 10.000 cas de pères violés, spoliés, broyés par le Système « D »
Cela constitue une grave menace pour l’avenir du pays ! Notre réseau a découvert plus de 10.000 pères violés, spoliés,… par le système « D »
Destructions des familles par les dysfonctionnements judiciaires et administratives
À la suite des conflits conjugaux
2.107 pères violés, spoliés, broyés par le système « D » (795 du Châteaux + 312 en rues de 1994 à 2008) par mes contacts personnels.
Au total, notre réseau associatif de pères a dénombré plus de 10.000 cas individuels depuis 1994
Des livres sortiront bientôt pour dénoncer ce génocide social par le système 'D'.
Une vingtaine d'exemplaires me seront envoyés dans quelques jours. Avis aux amateurs!
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